dimanche 10 novembre 2013

Les joyeux compères

http://blog.sebastien-briere.com
de Robert Louis Stevenson, éditions Vagabonde
"Mais quand la marée commence de nouveau sa course, surtout par gros temps, aucun homme ne pourrait mener une embarcation à moins d'un demi-mille de là, encore manœuvrer ou maintenir un bateau dans un pareil endroit, dont on entend le rugissement à une lieue. Le bouillonnement est le plus intense du côté de la pleine mer, et c'est là que les gros rouleaux, ces brisants qui ont été surnommés dans ces parages les Joyeux Compères, dansent ensemble - la danse de la mort, dira-t-on."

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